De l’enseignement de l’EPS à guide, il n’y a qu’un pas. J’ai décidé de le faire le jour où j’ai compris qu’on apprenait plus au contact de la nature et de la montagne que dans un gymnase. J’aime courir, marcher, grimper, pédaler, sortir des sentiers et explorer là où les traces sont moins présentes, là où on peut avoir l’impression qu’on est le seul à être passé…
Devenir guide, un rêve d’enfant ?
Gamine, je ne savais pas que guide était un métier, je ne savais pas ce que c’était. Devenir guide a été une construction pas après pas. N’étant pas issue de ce monde-là, j’ai exploré mes frontières identitaires : d’abord, j’ai découvert le monde sportif et celui de la connaissance de son propre corps. Puis je suis partie sonder les quatre coins du monde. Enfin, je me suis plongée dans la découverte de ce qui nous entoure et de notre environnement. Ce n’est qu’après avoir parcouru ce chemin que je suis devenue guide…
Quelle est ton expédition la plus marquante ?
C’est simplement quand un jour, je suis partie d’un bout de l’arc alpin avec mes skis aux pieds, mon sac sur le dos, et mes yeux regardant l’Adriatique et que quelques mois plus tard, je me suis retrouvée les pieds dans l’eau de la Méditerranée. Chaque jour j’avançais vers le soleil couchant, parcourant monts et merveilles ! Progressivement, et après quelques transgressions alpines, je me suis retrouvée à Menton. Quatre mois d’une grande simplicité et de pur bonheur, et une occasion rêvée pour dérouler sous mes semelles le temps qui passe.
Quel est ton secret pour garder la forme ?
Je ne sais pas si j’ai la forme mais en tout cas, je fais ce que j’aime et à mon rythme.
De quel objet ne te sépares-tu jamais ?
Mon sac à dos : grand ou petit. A l’intérieur, il contient tout ce qui est vital et qui peut m'aider en cas de mou. Il est parfois un peu pesant et encombrant mais tellement protecteur. C’est mon plus fidèle compagnon !
Quelle est ton expédition la plus marquante ?
C’est simplement quand un jour, je suis partie d’un bout de l’arc alpin avec mes skis aux pieds, mon sac sur le dos, et mes yeux regardant l’Adriatique et que quelques mois plus tard, je me suis retrouvée les pieds dans l’eau de la Méditerranée. Chaque jour j’avançais vers le soleil couchant, parcourant monts et merveilles ! Progressivement, et après quelques transgressions alpines, je me suis retrouvée à Menton. Quatre mois d’une grande simplicité et de pur bonheur, et une occasion rêvée pour dérouler sous mes semelles le temps qui passe.
Quel est ton secret pour garder la forme ?
Je ne sais pas si j’ai la forme mais en tout cas, je fais ce que j’aime et à mon rythme.
De quel objet ne te sépares-tu jamais ?
Mon sac à dos : grand ou petit. A l’intérieur, il contient tout ce qui est vital et qui peut m'aider en cas de mou. Il est parfois un peu pesant et encombrant mais tellement protecteur. C’est mon plus fidèle compagnon !